Dimanche 11 novembre 2018, de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h

FA1815 – ATELIER PRATIQUE SUR LA PHOTOGRAPHIE / DÉMARCHE ET CRÉATION

Logo Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue

• S’adresse aux artistes en arts visuels ayant une expérience pertinente en peinture

PRÉALABLES ET MATÉRIEL

  • Avoir une bonne connaissance de son appareil photo
  • Posséder un ordinateur portable et un logiciel de traitement d’images (facultatif)
  • Format

    Lieu

    694 3e Avenue, Val-d’Or (Studio 694)

    Coût

    91$ (valeur de 364$)

    Description

    L’atelier permettra, dans un premier temps, de distinguer les différentes étapes du cycle conceptuel et d’explorer les mécanismes de création. Par du contenu théorique, des échanges et des exercices pratiques, les participants pourront améliorer leur compréhension de ce qu’ils photographient, participer à un atelier de création et, par un visionnement en groupe, recevoir de la rétroaction sur le travail réalisé.

    Objectif

  • Initier les participants aux différents mécanismes de la créativité photographique en tant que moyen d’expression et de communication
  • En intégrant la notion de territoire dans l’atelier, les participants pourront davantage orienter leur pratique en donnant un sens profond à leurs images
  • Développer son sens critique et son style artistique
  • Formateur / Formatrice

    Jean Martin a enseigné le processus créatif ainsi que la démarche de création au Collège de photographie Marsan à Montréal de 2008 à 2018. Aujourd’hui, il donne des conférences et se consacre à temps plein à sa propre pratique.
    Son travail porte essentiellement sur la mémoire puisqu’il croit que la photographie tend à ralentir le processus de l’oubli. Au cours des 15 dernières années, il a collaboré à de nombreuses séries : Le Thanatoscope en 2008, Détritus en 2010 et Unauthorized Content en 2012. Depuis 2013, il se consacre quasi exclusivement aux territoires de la côte est des États-Unis, plus particulièrement la Nouvelle-Angleterre. Il tente de donner une nouvelle tournure à la photographie documentaire. Dans New England Ghost Story, il souhaitait combiner l’approche classique en intégrant une narration volontairement subjective. Essentiellement, il raconte l’histoire d’un endroit en combinant la fiction et la réalité de manière à offrir au lecteur une compréhension plus approfondie de ce qui unit cette communauté à la mer.