1 avril 2019

Nouvelles expositions au Centre d'exposition d'Amos dès le 12 avril

Source

Marianne Trudel
Centre d'exposition d'Amos

  • Téléphone

    819-732-6070

  • Courriel

    exposition@amos.quebec

Communiqué

Pour diffusion immédiate

Lueurs et trajectoires II, Élisabeth Picard
et
De l’impossibilité de disparaître, Mariane Tremblay

C’est avec grand plaisir que le Centre d’exposition d’Amos vous convie au vernissage de ces deux nouvelles expositions le vendredi 12 avril à 17 h, et ce en présence de l’artiste Élisabeth Picard.
Les enfants de 8 ans et plus sont quant à eux, conviés à un vernissage spécial combiné à un atelier de création en compagnie d’Élisabeth Picard le samedi 13 avril à 9 h. L’activité se déroule jusqu’à
11 h 30. L’inscription des enfants est requise au préalable au 819-732-6070. Places limitées.

 

Lueurs et trajectoires II – Élisabeth Picard
Sculpture et installation

Les organismes des mondes cellulaire, végétal et minéral stimulent la réflexion d’Élisabeth Picard. Par son interprétation abstraite, elle retraduit les éléments de la nature et du paysage par des jeux d’assemblage, tel un jeu de mécano, avec des matières aussi inusitées que des attaches de nylon Ty rap et qu’elle complète avec l’intégration d’éclairage. L’utilisation du motif géométrique et de l’effet de multiplication est récurrente dans le déploiement des œuvres. À la manière de la cristallisation en développement ou de l’effet kaléidoscopique, les formes dans les œuvres se répètent, se reflètent, se déforment et se propagent évoquant une continuité et une réverbération infinie.

Née en 1981, Élisabeth Picard vit à Montréal. Elle détient une maitrise en arts visuels, option fibre de l’Université Concordia ainsi qu’un baccalauréat en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal. Ses œuvres ont été exposées au Canada, à Cuba, en France et en Lituanie et diffusées dans de nombreuses publications et sites internet à l’international. Picard a participé au Subtle Technologies Festival à Toronto, au Red Bull Music Academy Montréal au Centre Phi, à la Biennale nationale de sculpture contemporaine de Trois-Rivières et à la Biennale nationale du lin à Portneuf. Son travail a été notamment diffusé à la galerie Division à Montréal et aux centres MATERIA, Diagonale et Circa Art Actuel. Elle a effectué plusieurs résidences au Québec, à Terre-Neuve et en France. Son travail fait partie de collections publiques et privées. Elle a réalisé trois œuvres d’art publiques dans le contexte de la politique d’intégration à l’architecture du 1%.

Inspiré par l’exposition d’Élisabeth Picard et principalement par l’œuvre majeure Waitomo Cave, nous convions les petits de 4-5 ans à participer à un conte interactif avec Céline Lafontaine le 8 et le 14 mai, une activité développée pour le Festival des Petits bonheurs et la Semaine de la Famille. C’est gratuit mais il faut s’inscrire au-préalable au 819 732-6070.

 

De l’impossibilité de disparaître – Mariane Tremblay
Techniques et médiums mixtes

Habitée par la possibilité de remettre le sens des choses en perspective, l’exposition propose un dialogue entre la quête du merveilleux, les manifestations de la disparition, l’observation de phénomènes uniques et la beauté tragique. Par diverses stratégies répondant à une esthétique de la rareté, l’artiste cherche à capter ou à provoquer le surnaturel dans l’ordinaire pour engager un processus de réenchantement. De l’impossibilité de disparaitre est une affirmation contradictoire qui interroge l’immuabilité, voire l’absurdité de la vie : ultimement, tout a une fin, mais si rien ne se perd, rien ne se crée et tout se transforme, comment est-il possible de ne pas disparaitre?

Détentrice d’un baccalauréat puis d’une maîtrise en arts visuels de l’Université du Québec à Chicoutimi, Mariane Tremblay vit et travaille entre Saguenay et Alma. Ayant intégré diverses collections privées et publiques, son travail en arts visuels a été présenté dans des expositions individuelles, collectives et des événements à Montréal (Occurrence, Foire d’art contemporain de Saint-Lambert, Diagonale), à Québec (Université Laval, Folie-Culture), à Deschambault (Biennale internationale du lin de Portneuf), au Saguenay–Lac-St-Jean (Bang, Le Lobe, Centre SAGAMIE, TouTTouT, L’OEuvre de l’Autre, Centre national d’exposition, Séquence, C.I.E.L.) et en Colombie. En complément de sa pratique en atelier, elle collabore graphiquement ou en mots à des éditions variées.

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Le Centre d’exposition d’Amos bénéficie du soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec.

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