17 octobre 2017

3 nouvelles expositions à L'Écart

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L'Écart
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L’Écart vous invite au vernissage de 3 nouvelles expositions le vendredi 20 octobre à 19 h. Les expositions auront lieu du 20 octobre au 19 novembre 2017.

Masqué
SARAH ANNE JOHNSON (Winnipeg)
DAVID MARTINEAU LACHANCE (Montréal)
FRANCIS MONTILLAUD (Montréal)
Vidéo • installation

Les artistes rassemblés dans l’exposition vidéographique Masqué témoignent avec esprit du combat des ostracisés, du poids des conventions sociales et des états intérieurs face à des conditions difficiles. S’il révèle plus qu’il ne cache, le masque, sous son expression immobile, intimide et provoque les rapports de force du non-dit. L’exposition fait dialoguer 3 vidéos dans lesquelles les vidéastes sont tour à tour comédiens, plasticiens et scénographes et nous invitent à pénétrer les lieux intimes et personnels de la création.

Latitude
EDWARD MALONEY (Montréal)
Installation

Artiste multidisciplinaire, Edward Maloney s’intéresse aux concepts de déplacement, de mouvement et de perception optique, dans une recherche à mi-chemin entre l’art figuratif et l’abstraction. Il présente à L’Écart Latitude, une exposition qui explore le lien entre la perception du voyageur et le développement d’une vision abstraite de la couleur. L’installation, composée de bancs d’autobus, d’une vidéo et d’une série de photo- graphies, propose des paysages flous et lumineux réalisés avec un Polaroïd durant les déplacements de l’artiste dans le sud du Québec. La vidéo, telle une fenêtre, nous laisse croire à un paysage, alors qu’il s’agit de peinture pulvérisée sur un tapis roulant, offrant une vision du monde vu en mouvement. Au-delà du paysage, les pano- ramas qui défilent à grande vitesse révèlent un mélange émouvant de couleur et de composition.

Je ne suis pas que LED
CROCODEALDUNIL (Rouyn-Noranda/France)
Installation numérique

Porté par l’humour et la poussée technologique, le collectif CrocoDealDunil expérimente le détournement de l’image et de l’objet. Intéressé autant par les rapports hommes-machines que par le partage social, il ne cesse de tester le glitch, le beau, l’expérience utilisateur, le bogue, l’œuvre, l’esthétique ou encore l’inutile. Avec l’exposition Je ne suis pas que LED, le collectif questionne la notion d’intimité entre le spectateur et l’installation numérique. Par une esthétique épurée et bric-à-brac, l’œuvre interactive, en constante demande d’attention, donne vie à la vitrine de L’Écart.

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