5 mai 2017

Margot Lemire, auteur « La semeuse de perles », participe au Festival des contes et légendes

Source

Benoit-Beaudry Gourd
Éditions du quartz

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    bbgourd@patcom.qc.ca

Les Éditions du Quartz sont heureuses d’annoncer le lancement du livre de Margot Lemire au Festival des contes et légendes. Le lancement de La semeuse de perles aura lieu à la Bibliothèque municipale de Val-d’Or, située au 600 de la 7e rue, à compter de 15h00 le samedi 13 mai. L’auteure y présentera son recueil et en lira des extraits en compagnie de Daniel St-Germain. Elle sera aussi disponible pour rencontrer les gens et dédicacer son livre. L’activité est organisée en collaboration avec la bibliothèque.

Le livre

Avec ce livre, Margot Lemire nous parle du quotidien, du désir et du pays qui nous habite. « En se penchant sur mon berceau, mes parents m’appelaient Marguerite. (…) Grand-mère disait que j’étais une perle. (…) Puis un jour, grand-père m’a regardée et a dit Margot. Une sorte de lingot, grand-mère a trouvé que c’était mieux qu’une perle ». De Marguerite à Margot, de perle à lingot, Margot Lemire était destinée à essaimer ses écrits comme perles et bijoux tout au long de sa vie, telle une voix enracinée dans son territoire et au cœur des gens qui l’ont bâti. Ses poèmes, ses nouvelles, ses éloges et ses adresses témoignent d’un chemin de vie où joies, peines, douleurs et plaisirs se transmuent en perles d’écriture.

La préface est signée par Jocelyne Saucier et la page couverture est illustrée par un portrait coloré de Margot Lemire, une œuvre de Norbert Lemire.

L’auteure

Reçue Membre honorifique du Conseil de la culture de l’Abitibi-Témiscamingue en 2014, Margot Lemire a publié deux recueils de poésie, Déparlures (1985) et Mon cœur jamais (Prix littéraire de l’Abitibi-Témiscamingue 1989) ainsi qu’un recueil de chroniques, Les mots qu’on relit (1989). Elle est l’une des quatre auteurs de Nos saisons, ouvrage paru aux Éditions du Quartz (2011) et a contribué au collectif Contes et légendes de l’Abitibi-Témiscamingue (2012). Elle a également signé plusieurs textes pour la scène et participé à de nombreuses soirées de poésie au Québec. La Commission des arts et de la culture de la ville d’Amos lui a décerné le Prix Thérèse Pagé en 2004. L’auteure met à l’honneur son pittoresque village de La Motte dans un texte primé par le magazine Vivre à la campagne (2011).

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