Sorties de résidence et vernissage
Source
Audrée Juteau
Écart
Ce 27 juin, venez clore la saison 2023-2024 de l’Écart en beauté avec des sorties de résidence et un vernissage dans une formule 5 à 7 !
À la suite d’une résidence d’écriture dans le cadre d’un partenariat entre les Éditions du Quartz et l’Écart, Isabelle Rivest nous fera la lecture d’un extrait de son projet dramaturgique Nos mères meurent (et nous n’y pouvons rien). Juliette Lemieux ouvrira l’exposition Prude côtelette, qui clôture son stage d’été à l’Écart. Et John Henry Gerena, à la suite d’une résidence de création, performera en continu son projet chorégraphique D157ORS1ON.
Isabelle Rivest (Rouyn-Noranda)
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Résidence 18 au 27 juin
Sortie de résidence 27 juin à 5 à 7
Lecture à 18h00
Voilà plusieurs mois maintenant que L’Écart et les Éditions du Quartz partagent un même espace, mais aussi, par la force des choses, des idées, des projets, de l’art. C’est dans ce contexte de mise en commun des ressources et des possibilités que l’autrice Isabelle Rivest effectue sur place une résidence d’écriture pour son projet dramaturgique Nos mères meurent (et nous n’y pouvons rien).
En résidence à l’Écart, Isabelle a l’occasion, entre autres, d’approfondir ses recherches sur le mouvement migratoire des Madelinots vers l’Abitibi-Témiscamingue dans les années 1940, mouvement dont sont issus les grands-parents de sa mère. Et surtout, l’autrice poursuit l’exploration et l’écriture de cette pièce conçue comme un geste de réparation entre sa mère et elle. « Je rétablis », dit-elle.
Juliette Lemieux (Rouyn-Noranda)
Prude côtelette
Exposition étudiante 27 juin au 5 juillet
Vernissage 27 juin 5 à 7
L’Écart accueille Juliette Lemieux dans le cadre de son programme d’emploi d’été. Depuis sa fondation, le centre souhaite développer et encourager la jeune relève en arts visuels. Ce programme permet à de jeunes artistes de vivre l’expérience de la mise en exposition en galerie dans un contexte professionnel. Pour son projet d’exposition, Juliette Lemieux poursuit son exploration sur la définition de la féminité véritable. Les biais misogynes semblant discréditer systématiquement toute chose associée de près ou de loin à l’identité des personnes s’identifiant comme femmes et nées femmes, elle cherche une façon de se réapproprier les signes visuels kitsch associés à l’expérience féminine traditionnelle issue d’une société conservatrice au regard racialement limité, et soumise aux valeurs religieuses occidentales.
John Henry Gerena (Montréal-Bogota)
D157ORS1ON
Résidence 14 au 28 juin
Sortie de résidence / performance en continu 27 juin 5 à 7
Pour John Gerena la matière principale d’étude, de recherche et de création repose sur le corps, son mouvement et ses capacités expressives. Son désir d’explorer de nouvelles perspectives réside dans l’intégration d’autres disciplines, cherchant ainsi de nouvelles façons de concevoir la danse. En résidence à l’Écart, il explorera les frontières artistiques afin de créer des connexions interdisciplinaires.
Pour plus d’informations sur les projets et les artistes, consultez le www.lecart.org
Audrée Juteau
Directrice générale et artistique de l’Écart
audree.juteau@lecart.org
(514) 962-1499